Diagnostic Technique Global
Le Diagnostic Technique Global (DTG) permet aux propriétaires de pérenniser leur patrimoine immobilier
Le Diagnostic Technique Global (DTG) permet aux propriétaires de pérenniser leur patrimoine immobilier grâce à l’évaluation technique, réglementaire et énergétique de leur immeuble. Il est obligatoire pour certaines copropriétés, il est recommandé dans tous les cas.
En anticipant les travaux à prévoir et les frais engendrés, le Diagnostic Technique Global est un élément qui permet une meilleure gestion du patrimoine immobilier ainsi que la pérennisation de celui-ci. Les diagnostics sont des témoins du bon entretien du bien, source de valorisation des appartements des copropriétaires.
Que comprend un Diagnostic Technique Global ?
Notre diagnostique reprends les specificité de l’audit énergétique de l’ADEME.
Le DTG doit contenir les informations clés relatives au bâti de la copropriété :
- Une analyse de l’état apparent des parties communes et des équipements communs de l’immeuble ;
- Un état de la situation du syndicat des copropriétaires au regard de ses obligations légales et réglementaires ;
- Une analyse des améliorations possibles de la gestion technique et patrimoniale de l’immeuble ;
- Un diagnostic de performance énergétique (DPE) de l’immeuble dans sa globalité ou un audit énergétique ;
- Une évaluation sommaire du coût ainsi que la liste des travaux indispensables à la conservation de l’immeuble pour les dix prochaines années.
Si vous avez déjà fait réaliser un DPE de votre copropriété, cela ne remplace pas un DTG.
Il permet de :
- Déterminer les travaux à prévoir dans les 10 prochaines années.
- Il comporte une liste des améliorations possibles et des travaux à prévoir, ainsi que leur estimation.
- L’état de la copropriété et des investissements à prévoir.
Cela permet de planifier en avance les travaux et les appels de fonds nécessaires.
L’assemblée générale de se positionner sur les travaux à prévoir à plus ou moins long terme en toute connaissance de cause.
- Article 58 de la loi Alur du 27 mars 2014, modifiant les articles L733-1 et L 731-1 et L31-2 du code de la construction.
- Décret d’application paru le 28 décembre 2016